Si une crise économique d'envergure mondiale, aux conséquences incalculables, encore en germe, a été initiée au début de ce vingt et unième siècle, ce n'est pas pour dire : voilà, je suis tout-puissant. Regardez. Observez. Et prosternez vous devant moi. La force est par définition bonté. Elle n'est pas narcissique, individualiste. Elle ne s'imprime par sur terre quand tout va correctement.
Prenons la prémonition de Malraux, devant le doute levé dans l'esprit du lecteurs sur ces drôles de propos : le vingtéunième siècle sera spirituel ou ne sera pas. J'ai toujours été choqué par la fin de sa phrase : un écrivain de grand talent, de l'académie française, médiocre en politique au demeurant, et mieux connu pour sa Comédie Humaine, finit une phrase à propos d'un siècle qui ne sera pas. S'il n'est pas spirituel. La tournure, convenez-le, semblait un peu biscornue. Un vieux français peut-être, cent cinquante ans ans avant le paroxysme de l'effet de serre. Inerte, que je ne préfère par trop explorer maintenant.
Train de vie excessif
Les gens ne pourront jamais imaginer que leurs ancêtres pouvaient se prendre à un cycle d'allers-retours quotidiens sur les routes en voiture occupée d'un seul passager - d'un virgule trois selon les statistiques, ce qui n'est pas suffisant pour remplir l'avant de la voiture; et aller travailler au moins par deux. Nos arrières petits-enfants ne pourront jamais l'imaginer : tous le monde va ensemble dans la ville et personne n'est fichu de retrouver la même carrosserie deux fois par jour. Personne n'est capable de se co-voiturer. Les enfants devraient mieux s'occuper de leur parents. De la cohorte des gens allant travailler le matin sur les routes. De leurs coreligionnaires. Et de cocottes, c'est à dire les freins de ma bicyclette équipée depuis d'un levier de vitesse inventé par Shimano.
L'ile-de-France porte toujours une charge pléthorique de parasites, d'ectoplasmes, de champignons, de moisissures, d'un trop plein de fonctionnaires, à force de s'entasser conformément aux vœux démocratique de donner du travail pour tous, et ensuite du pouvoir d'achat au gens de façon méthodique, afin d'assurer une symbole de la liberté, statue dans un couloir de la fonction publique, sans rien n'avoir à faire, aspirer, souhaiter, désirer, solliciter, sauf l'aménité et parfois, le ressentiment et la haine de l'enfant trop gâtés au pouvoir d'achat décuplé depuis l'invention des congés payés, manifestant français voulant tout bloquer, incapable de voir les avantages imbus dont ils profitent, unique au monde, sans équivalent dans l'histoire de la terre, des animaux, ou de ces humains dépourvus du moindre mobile valable à bien y regarder de près, chercher les équivalences des grands mouvements ouvriers du monde entier et du passé, en Angleterre lorsque madame Tatcher fit fermer les mines de charbon, ou encore allemand, hollandais : tous les mouvements ouvriers, ou sociaux, ou citoyens du monde ont un fondement authentique, sauf un, un seul, n'ayant cesse de se mouvoir après l'an 2000, au paroxysme du pouvoir d'achat des salariés de la fonction publique : ces millions de pauvres fous allaient manifester contre les réformes alors que leur pouvoir d'achat avait décuplés depuis l'octroit des cinq semaines de congés pays par le Maréchal Pétain; alors qu'au même moment des centaines de milliers de femmes dans les cités étaient victimes d'un traitement barbare, inenvisageable au regard de droits de l'homme, de centaines de milliers de femmes délaissées par la France, parce qu'elle sont d'une autre religion, d'une autre couleur, d'une autre origine, de l'origine des tours en béton, par centaine de milliers érigées cette fois ci; de pauvres fous incapables de porter un seul regard sur l'horreur que vivent simultanément des millions de femmes dans ces cités en béton. Quand vous voyez une jeune fille musulmane, le foulard délicat posé sur la chevelure, obtenir des résultats scolaires prodigieux quand elle reste intacte, inentamée, qu'elle ne fut pas dérangée par un poste de télévision ou une smala de petits frères et soeurs, qu'elle parvint à trouver un endroit serein pour travailler, faire ses devoirs, qu'elle évita de se faire violer dans un sombre couloir, dans un escalier au coin d'une cité, sous la pulsion de jeunes mâles en rut dépourvus de cadre, de valeur, de structure, vous donne une mesure de l'horreur évitée, mais subite par des centaines de millier de femmes dans les cités. Et de songer que ces manifestants imbus de droits et dépourvus de devoirs, ne descendent jamais dans la rue pour défendre une cause juste de cette sorte, me révolte.
La ligne droite du circuit de Vincennes, le château en ligne de mire, redoutable sous l'effet d'une minoration de la paroi forestière dégradée de l'installation d'un parterre de cours de tennis, ouvrant des flux de sud terriblement surprenant, se gère toujours de la même manière : c'est là que j'imprime ma générosité, de manière sympathique pour le peloton, heureux d'aller plus vite. Je n'accuse pas l'insuffisance physique généralement développée sous le désidérata démocratique du travail généralisé et de la voiture pour s'y rendre, au détriment du climat modifié, conformément aux professions de foi des candidats aux élections des pays démocratiques, tous tous tous tous identiques, le moteur en avant, tractés ainsi pour se rendre, selon une articulation très étrange : l'avant-bras est constitué de quatre roues, et l'épaule d'un conditionnement : dignité, travail salarié. Des études restent ici à mener afin de déterminer la structure striée de ces muscles reliés par des ligaments et de nerfs à travers une rotule, un moyeu, un essieu, une tarentule, ou des talentueux - pros-faites. Et depuis l'apparition de l'homme nouveau, je n'ai pas encore observé de document décrivant cette étrange mobilité des bras, du milliard d'automobilistes, les mains sur le volant et dans les structures de l'État. Le désidérata démocratique est source d'effets secondaires des plus imprévus.
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Onze dents ont été enlevées à l'arrière, et je suis resté sur le grand plateau, sans inconvénient et protestation. La marche d'ici à la gare leur plait, une cane en acajou prévue pour mon anniversaire en souvenir de promeneurs solitaires des sentiers de Vincennes, gai et bucolique, adossée à Paris, fidèle à ses fondamentaux. L'Ile de France fut bien malmenée par la tempête du vingt cinq décembre 1999, décrite au troisième voyage de Gulliver, peuplé de tous mes gens, en train, en voiture, à cheval, à fusée, et puni d'une malédiction : le ciel leur est tombé sur la tête, d'une manière mécanique : une tempêtes aux bourrasques supérieures à deux cent kilomètre heures sous le délitement de l'anticyclone automobile. Elle s'écrasèrent sur le mur et perdirent de leur vitesse, des pointes à cent soixante enregistrées, les arbres du bois de Vincennes arrachés. Vous verrez à bien observer de votre balcon les conséquences du désamorçage de l'anticyclone automobile dans l'ile de Lagado, entretenu des semaines interminables par les sujets terrestres; les situations extrêmes d'un refus catégorique d'un service quelconque suivit de la sanction d'une descente mécanique en dessous de mille quinze millibars à une vitesse de décompression provoquant la rupture de la gravitation : l'ile écrase d'un seul coup mains sujets de sa majestés, détruits des habitations, dévastes les forêts, et remonte après avoir infligé la punition. Ces tempêtes extrêmes surviennent assez rarement. Vous remarquerez dans les annales de votre météorologie nationale la descente, du samedi au lundi matin, en rase motte, terrés dans les chaumières à l'écoute de la décompression. Les lourdes hélices invisibles de l'Ile à peine à dix mètre aux dessus des têtes font voler les tuile et les branche, déracinent des arbres et culbutent de échafaudages. Le jour se lève à peine et le vent va des hautes pressions vers les basses pressions, à une vitesse alors inhabituelle. La variation brutale de la pression pascale est alors suffisante à l'exercice de cette dévastation.
Je glisse une précision à l'oreille de mon auditeur, la tête sur mon épaule, attentif et rigoureux : il s'agit moins de l'effet de serre que d'une conjonction de circulation automobile directe. Toute accalmie de son intensité se traduirait par la rémission du problème majeur auquel est confronté l'humanité.
Marc, tu éprouves dans ton pays, en Amérique, les même désagréments. Je relève la même anticyclone symphonique dans ton pays ouvert, depuis dix ans, des tempêtes en flux de nord jusqu'aux confins du Canada, des froids dans le flux inverse au ton plus vif, plus pernicieux, plus régulier, artificiel, un thermomètre en descente nette en dessous des normales saisonnières, et des effets originaux, nouveaux. Vos réactions ont été vives, sans état fédéral, force de secours, des ravages aux premiers carnages du froids, gérés parcimonieusement. Saurais déjà anticiper les conséquences subit depuis dix ans de la frénésie des huit cent millions de véhicules simultanés, la première collatérale, artificielle, mécanique, et la seconde des temps-ci, en flux dominant, les vents classiques de nos pays dont la direction est marquée dans le dictionnaire, doux immodérément, sollenement appelés «premiers effets de la serre». Sans l'accompagnement commenté des météorologistes ou dans les planétarium afin de nous expliquer les mystère de l'univers, deux degrés de trop en ces automnes originaux. Quatre degrés pour les octobre les plus chaudes enregistrés dans les anales. Sans voix off. L'affirmation d'André Breton relatif à l'irréalité complète du monde dans lequel nous vivons prend enfin tout son sens : ces observations ne sont pas accompagnées de la voix off des scientifiques. Marc, nous ne sommes pas dupes des hyper-structures sibyllines, scientifiques, politiques, les plus abouties, non. Tout cela est une vulgaire supercherie et nous sommes tous recroquevillés dans un liquide amniotique sous le contrôle du Matrix au calcul des symboles verts conformément à nos désirs, dans nos rêves, incompétent à traiter à la fois de façon crédible et réaliste les prétendus congrégations, dynasties, des effets secondaires de voutes plantaires méthodique et acharnées, protégeant d'une mise en plie les clercs et les jésuites incapables de vous proposer de vrai numéro du tonneau tourneboulés, du saut à travers un cercle de fer de gracieuses rétribuées, de sorts de mages.
Reprenons la lecture du Prologue des Histoires Extraordinaire d'Egard, sur vingt lignes, et pas plus en fait. L'introduction m'intéresse, d'un autre, la panard, consacré entièrement à ce monde des esprits à là de ce côté-ci, passionnants, beaux et puissant, plein d'interactions. D'une douce révérences pleine de respect à la quatrième dimension, pas de chez nous. Que le monde de l'esprit des trois première est riche et beau ! Que je suis ignare, mal instruit, tapis loin des lumières, un Rousseau confesseux, et trois grabataires beaucoup plus vieux, Voltaire et Montesquieu, bénéficiaire du Revenu Minimum d'Insertion, certain de ne pas porter préjudice aux mineurs de quinze ans, bien soigné des administrations des quatre dimensions, rendu innofensif sous camisole psychique fort bien ente entretenu dans mes illusions d'être un écrivain, loin d'avoir été publié. Et de temps en temps, capable de lire un livre. De le lire vraiment, la tête dedans à cent pour cent, de le comprendre, de rêver et palpiter sous son intrigue comme un gamin de quinze ans avec Edgar, de ne plus exister, ravi enfin de me trouver entre de bonne mains. Bien, sans une souffrance, un soucis, un bobo, en pleine luminescence, d'âge indéterminé. Forcé d'avouer ce soir dans la cinétique du propos ne pas parvenir à lire beaucoup de livres, me ramasser à la page deux grands trésors de références, le vélo à disposition dans le couloir de l'entrée Kant s'en est trop. Rouler à vélo est bien plus rigolo. Je te propose lecteur, moi et toi derrière là, flou et indéterminé de sexe, de peau, d'âge et de taille de pied, de faire du vélo, d'exercer des mouvements dans ce vecteur apparemment impossible à traverser au delà de sa ponctualité sur la surface plane, une abscisse et une ordonnée, trois dimensions, certain de me voir point. A, b x ou y, à vous de choisir devant l'anonymat du texte servit sur un papier de carambar marqué d'une devinette, la réponse à l'envers, un buvard pour l'encre dégoulinant de votre plume traçant un vecteur d'une longueur inégale. Entrain de jouer avec mon esprit tout seul dans ma chambre, content de mes variations maintenant, et dans dix jours encore, un administrateur heureux d'avoir préservé sa liberté d'un prédateur sexuel à la libido déréglée à force de kilomètres accumulés à des cadences déraisonnables, la tension de la chaine très contrariante au goût de la quatrième, incessant dans ses altercations au carrefour du circuit de Vincennes : «enlève une dent !».
Avec une température moyenne de 9,7 degrés, le mois de novembre 2009 a été "très exceptionnellement" doux, selon le rapport climatologique mensuel de l'Institut Royal Météorologique (IRM) établi à Uccle. Le record de température moyenne n'a pas été battu, contrairement au record de la vitesse moyenne du vent.
En novembre, les statistiques rapportent que la température moyenne est habituellement de 6,1 degrés. Cette année, elle est montée "très exceptionnellement" à 9,7 degrés. Cependant, le plus haut record, celui de 1994 (10,4 degrés) n'a pas été battu. Avec 12,4 degrés et 7,4 degrés, les températures moyennes maximum et minimum étaient "exceptionnellement hautes". D'après l'IRM, c'est un phénomène qui n'a pas été atteint depuis 30 ans. Les valeurs normales moyennes sont habituellement de 8,9 pour les maxima et de 3,5 degrés pour les minima.
La vitesse moyenne du vent a aussi été "très exceptionnelle": 5,5 m/s contre 3,7 m/s normalement. Le record de 1940 (5,4 m/s) a donc été battu.
Le soleil a brillé 48 heures, ce qui est statistiquement normal. Avec 1006,6 hPa, la pression atmosphérique était "exceptionnellement" basse, contre 1014,4 hPA en moyenne d'habitude. Il y eu 25 jours de précipitations, un nombre que l'IRM qualifie comme "anormalement" élevé pour un mois de novembre. Il y a eu 7 jours d'orage, ce que l'IRM considère également comme "anormal" par rapport aux autres années. Par contre, novembre 2009 n'a pas connu de neige
Je vais essayer de me mettre dans votre peau, mesdames et messieurs. Parlons du climat un peu vu l'occasion présente innatendue pour tout dire et farfelue, n'y croyant pas moi-même du tout, quatre degrés en octobre chaque années, il ne faut pas exagérer. C'est une blague, une connerie, une farce. Voilà ce qu'on ce qu'on appelle «un effet». De la faute de l'accoutumance dix ans durant au climat de mon temps à moi, ignorant l'automne d'avant, sa fraicheur habituelle. Sans le chiffre, je n'aurais jamais cru vivre dans une période extraordinaire, jamais. Une période stable, une relation durable, des octobres à plus quatre degrés chaque année, pas de tromperie, de mari cocu, ma fidélité, et l'extraordinaire situation climatique : ils disaient dans le protocole de Kyoto un scénario catastrophique à l'échéance de ce siècle mal engagé de six virgule un degrés. Et nous franchissons allégrement les limites fixées par le protocole de Kyoto au premier décan du nouveau millénaire -. Nous aurons largement le temps de voir d'extraordinaires histoires dans les temps à venir. Nous n'osons avouer notre relation perverse, les secret cachés dans les plis de notre conscience, notre fascination et notre attente, blasé, lui tapant de nos petits point obtus au nom « des générations futures» : la perversité innommée, tue, secrète, tout au fond de nous, sachant l'existence d'une chambre à gaz. Tous pervers, au fond de notre inconscients : indifférent à la fonte des calottes glaciaires et aux mauvais versants exposés aux soleils au premier décan, tous réfugiés dans nos vertes contrées décorées des jardiniers municipaux, anglais, japonais ou franco, les enfants les doigts sur lapalissade en allant à l'école le matin le cartable sur le dos, des pistes cyclables, le sommet du Kilomandjaro à l'air de Mont-Chauve, blasés depuis cinquante ans d'à peu près tout absolument. L'inconscient en fornication avec le dioxyde de carbone, pour voir, l'air de ne pas y toucher, indignés lors de nos conversations entre voisins, les «générations futures» dans notre bouche, au point d'une précision nécessaire à apporter. Le conscient se soulage d'éternels sophismes. J'aimerais la philosophie franco sur le sujet chaud, au calcul de mille et un parti en sus sur les facultés des autres animaux , l'égo, confiture, le golio, l'obligé, l'obligeant, les effets grégaires, loin de ma spécialité ici. Messieurs les philosophes, psychologue, donnez, donnez. L'inconscient est pur, enfant, désir, la boite d'allumette entre les mains et la pulpe des doigts indemnes sur le clavier de soi, une superbe perspective là au loin, du sel afin de pimenter notre vie de misère, en manque d'extraordinaire, découplée du conscient dans le suivit en temps réel d'une évolution de notre pensée après là, je ne sais où; instable, en perpétuelle changement, une érection volontaire devant la découverte de la perversité en nous, les mains sur le volant d'une voiture propre.
Désintoxication alcoolique ou manque d'activité physique ? Allons écrire dit lignes au pif afin de se réanimer l'esprit le sexe de l'enfant à la grosse voix bandouillant à gauche en chair et tout ira plus clair sans quoi je vais dormir ou parler au matelat , rambling promis de toute manière pour cet après midi, de songe, de d'écriture ou de parole garanti. Asthénie fonctionnelle issue de l'immobilité toute la matinée. L'automobile est incapable de me sauver faute de contact avec l'air frais, huit cent millions de sortie enregistrés ce matin et un passage du ciel du gris au bleu ciel en l'espace d'une demi heure. Je ne bouge pas et les autres en profitent, un jour dominical de repos bien mérité. Ce gamin en plus me fatigue, dès son entrée dans la maison. Insupportable à vivre au quotidien au point de ne pouvoir raisonnablement traiter de l'attitude de mobilité de mes concitoyens, l'autre entrain de me mimer un feu bois à l'époque de néanderthal, un silex dans la main pour faire l'étincelle devant mes deux billets de vingt euros comme technique de règlement du problème majeur de l'humanité. Il fallait y penser, réfléchir, songer, méditer mille ans durant au faîte de la colline à l'endroit le plus tranquille sous un séquoia Séquoia de Chine. Les sages, je ne sais pour quelle raison, sont toujours chinois à la barbe éfilochée, petit et mince, incompréhensible et allégoriques. Impliquant un cheminement de votre pensée, des recommandations d'ouvrage sur le problème de l'autisme si vous voulez bien vous rapprochez bien chers frères et bien chers soeurs la main sur la carrosserie sentant encore la chaleur de votre moteur, les écho de l'église en faces relatifs aux péchés du monde et des agneaux enlevé et lavé, et les mots «éternel, absolue, alléluia». Les sages chinois très sec, maitres de leurs passions, boudha vivants, font de moi un vicieux au dernier degré, aux mille habitudes de vieux libidineux afin de faire tourner ces glandes et ces pédales chargées d'une taux de testostérone infranchissable aux contrôles anti-dopage. Moi qui voulait vous faire un système de trois cent soixante cinq cases coloriées en bleu pour le jour d'ensoleillement et en gris pour les jours couvert un peu beaucoup ou à la folie, afin de vous proposer un jugement péremptoire de vos sociétés démocratiques face au problème climatiques prétendument pris à bras le corps depuis la signature des accord de Kyoto - pas de Pékin je ne sais pour quelle raison, les asiatiques en tout état de cause drôlement ombrageux malgré leurs petites tailles pour le siècle à venir, l'air de nous prendre pour des voluptueux dans l'exploration de ces pages faciles.
La transitions thermique foudroyante écrite sur le papier ne transmet aucun frissons, aucune douleur, aucune inquiétude. Elle reste sans prise sur votre perception faute d'épreuve, le froid. D'où la nécessité d'en parler, aujourd'hui, ce mardi quatorze décembre, un ciel bleu revenu soudain, après la grisaille de week'end passé. Un ciel bleu d'azur suivit d'un changement saisissant. Sand doute, des astres loin dans l'univers peuvent assurer des pulsions transversales et sidérantes, des naines blanches ou des pulsars produire des galaxies boréales un matin de feu. Car au delà du bleu d'azur il fait froid, froid dur, à transpercer les murs......je me demande parfois s'il ne s'agit pas d'un tour de prestidigitation identique à la tempête du mois de décembre 1999 prévu par je ne sais quel création. À ce point de symétrie, de juxtaposition, d'une procédure des éléments, un délire passager à oublier dans l'instant. Disons qu'il fait trop froid. Il ne fait pas froid. Il fait trop froid. Et avant hier il faisait trop chaud. Pas chaud. Il faisait trop chaud. J'ai trouvé la formule « transition thermique foudroyante» afin de décrire ce phénomène unique en son genre, sans justificatif de domicile de nos cours d'histoire-géographie expliquant la baisse de la température sous l'effet de l'absence de nuage rétenteurs de chaleurs, de l'effet de radiation et de dispersion de touts nos généreux photons luminescents partout sans don de soi du tout. Classique des cours de géographie physique.
Quelques flocons de neige sont tombés dimanche matin, fusillés après dix heures, confisqués à toute manière de régulation classique devant la cohue automobile. Les neiges sont reportées pour les fêtes de Noël, précédées depuis dix ans de températures de l'anticyclone automobile, avant la reprise de janvier, les démesures glaciales selon les pilonnes du canada déchirés, des moineaux décimés, des plaques de froids givrées et la remise en question de la moyenne des années les plus chaudes du siècles. Sans être sûrs d'intéresser mes lecteurs ici devant la nonchalance générale à la considération des chiffres déjà inquiétant en l'état, les articulations des doigts un peu bloqués, trop longtemps posés sur le volant, la tête renversée sur mon tableau de bord, un peu esseulé, le «je» de la littérature revenu ici. Soucieux de ne pas ennuyer mon monde de lourdeur, la conscience à l'affut du bien-être lyrique sommaire devant les besoins fonciers d'advertisment, emportés dans les dans le voyage d'Alice aux Pays des merveilles. Je me livre aux joies du rêves, les yeux levés vers les paysages féériques à la fin d'un propos sur le froid titanesque. Je me laisse aller aussi aux variations légères et sans contrefaçon, loin du scénario sombre du Giec dépourvu de représentations consignées d'un métier, peintre, scientifique ou photographe, tendant ce cliché, assis sur la pelouse du jardin toujours verte après le passage des masses d'air polaires.
Je réitère ma sempiternelle demande, et souffle à l'oreille de mon Amour Fou quand elle aura un moment de me transmettre le dernier rapport du Giec. Une créature d'un intérêt si limité que je me tourne vers ma pensée, au souvenir de la fuite en avant économique et le train de vie symphonique de tout les pays du monde. Deux cent ans de réserves de charbons sans en avoir terminé avec le pétrole, des sables asphaltiques en cas de manque et une belle dynamique, le dragster paré à battre un record de vitesse sans le parachute à la fin de la piste sous l'inertie thermique du gaz carbonique.
La foule se réfugie auprès de dieu, capable de surmonter les éléments déchaînés, accompagné de je ne sais combien d'homme, ni comment. Et là il est grand, prend à mes yeux une autre dimension, détache son ombre gigantesque derrière mon corps de pauvre mortel. Se coupe de ma vélocité pour emmener dans son flux la dynamique du peloton serré à l'affront des éléments surmontés. Mes derniers coureurs détachés, le vélo penché dans l'herbe grasse sur le côté, agenouillé devant sa grandeur.
Nous en sommes toujours à ground zéro, neuf ans après les échancrures derrière le pont de Brooklin. Ground zéro au milieu des bourrasques et du mauvais vent intenable pour le sans-abris soufflants le blizzard juste le temps de me rendre au supermarché ce matin à neuf heures. Un doigts de pied trempés dans mon bain pour la reprise des demain à Vincennes en flux de sud : le faut plat montant s'en trouve facilité et je place l'injection sur l'autre versant, vent de face, emmenant dans ma roue les bonhommes. Contraint cette année de rouler tout seul devant la situation en France loin de la morosité, une activité joyeuse en cette fin d'année, le prix du pain inchangé, et l'annonce ce matin aux actualités d'une probable pulvérisation de la consommation d'électricité, le jour le plus consommateur de tous les temps après le jour le plus chaud en sept. J'aurais voulu au moins que mon peloton ne se disperse pas et révise à la baisse sa consommation électrique, histoire de valoriser un peu ce rez-de -chaussée prévu pour un nouvel établissement moins financier. Les milles biotopes des absices et des ordonnées dispersés sur quarante mille kilomètres restent désabusés pour un motif autrement plus sérieux, inquiets de ma moyenne à Vincennes après la reprise vent de face relayé habituellement par des spécialistes de l'autre partie en combinés généreux volant les plus beaux tours à une moyenne de cinquante. La magie de la vitesse repose sur la combinaison éprouvé des rollers, cayakyste et autre pratiquant de disciplines sportive centrifuge sur tous les chemins de pélerinage. Des collectifs, malgré l'appellation réservée aux usagers de leur jambes sur des terrains de spores en forme de rectangle, pareils à mes abscisses et mes ordonnées illimitées pour les évolutions en ligne. Le méridien de Greenwitch en solitaire est difficile à affronter.
Ils ont compté jusqu'à dix. À trois franco de jeu à diminuer les émanation. A cinq était un puit de carbone creusés pour les besoin des d'échanger d'idée, et neuf un hold-up afin de renflouer les caisses des Etats fatigués. J'ai appelé Magellan à travers l'air et le continent, un tour du monde en public à la vitesse de la la lumière afin de lui transmettre ces informations : les accords de Kyoto en discussion à Copenhague limitant la hausse des température à deux degrés autorisés d'ici 2020 ont été bafoués avant d'avoir eut le temps de compter jusqu'à dix. Premier des tous les sommets consacrés au climat sans la moindre solution sérieuse.
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J'espère beaucoup de lecteurs identiques à moi, allant dynamiques lire les pages les unes après les autres sans trop s'arrêter sur les confuses, certain de retrouver après un peu plus de clarté. Un lecteur aussi léger de rigueur en lisant le philosophe allemand, selon la méthode du roman, de la recherche de sensations, de l'interdit d'une méditation après-coup, d'une idée de garder le bagage dès lors d'une lecture de ces pages bienfaisantes et sensationnelles, un peu, beaucoup, à la folie mais jamais pas du tout, sinon c'est lui le confus, le tout fou, le neurasthénique. Une lecture qui n'a rien de plus glorieux de celle du lecteur d'aphorismes aux tempos réguliers après passages, une minutes d'écart entre les entre chaque passager au contre la montre afin de méditer sur la performance de chaque lecteur et le sens de son départ. Au seul recours de Nietsche pour la musique. Au seul recours du seul supportable parmi les li ² QAvres rangés dans la bibliothèque, l'histoire d'une famille sous le Second Empire, les Rougons-Macquart.
Une pensée pour les arabes, les libyens, les jordaniens, les iraniens, les gens dans des tissus de l'autre continent. Une pensée pour eux et vraiment, c'est affreux. Etrange tout de même le cheminement de ma pensée, si solitaire. Sans du tout vouloir faire de sentimentalisme. Je ne suis pas sujet à la compassion. Mais quand même, ces gens en tissu, quand même, à l'étude de ces verset sur l'existence d'une chambres à gaz et l'absence dorénavant de toute description physique des matériaux, sables, albédo, de orientations de l'axe de la terre, zones géographiques, tropicale, équatoriale, du tropique du cancer... Plus aucune démonstration scientifique, mais une lecture du verset satanique au sujet de la chambre à gaz. Sommes-nous d'accord vous et moi sur leur véracité ? Partagez vous alors ma vision des gens en tissu ? du tac au tac ? Je vous demande, car c'est la raison de ma colère, soulevée il y a des années en Arabie Saoudite, contractuelle d'un déclic en tête au sujet des gens en tissus les premiers à fumer au dernier décan de ce siècle mal engagé.
Hourra ! Moins deux degrés pour le mois de janvier 2010, et le troisième hiver le plus froid de tous les temps. ça ne me fait ni chaud ni froid. On dirait que les murs seraient en chaux et les voitures seraient en fonte. C'est plus drôle et plus jolie. Les quarante-huit sujets de société passionnant, comme la psychiatrie en France, les familles monoparentales, l'immigration massive, l'agriculture intensive... Croyez-vous vraiment que je vais aller m'ennuyer avec tout ça alors que Montaigne je crois, je pense, je suis …. sûr oui, s'en moquait bien. Et préfère laisser aller ma folie au milieu de l'après-midi, immobilisé par l'attraction terrestre rendue plus accablante sous la promenade guillerette au bois jolie, tandis que les carrosseries s'enfilaient le long de ma structure d'acier aux reprises largement supérieures. Je n'en ai cure. De mon sérieux, de ma sobriété, de mon allure, et vais la tête haute sans réfléchir. J'éprouve la même insouciance devant le changement annoncé dans le bulletin météo d'avant hier pour le mois de janvier : moins deux degrés, moins deux degrés, moins deux degrés ! Dirais-je de façon légère, langoureuse, indolente. Rendez-vous compte ! Je récolte les signes les uns après les autres, soulagé de mon angoisse générique. Trente ans durant, je fus malmené d'autres relevés climatiques indélicats. Qu'ils ont été vilains ceux-là ! ce sommet de la terre à Johannesburg, devant la découverte scientifique du siècle : le dioxyde de carbone que nous rejetons serait stocké dans l'atmosphère plus longtemps que les déchets nucléaires, accentuant l'effet de serre. Dix ans plus tard, une bonne moitié de la calotte glaciaire avait disparue. La calotte glaciaire. Pas les deux trous du cul ! L'autre est pleine de terre et ne fondra jamais. Ma vie est une succession d'accidents quotidiens générés par la providence, des orages, des canicules, des froids polaires, des boursouflures, des éboulis partout sur mon passage.
Je pense que l'an 2000 a été antidaté à la suite d'un accident de parcours et ne représente rien d'autre que trois zéro alignés
Je suis dans un état des plus défait, abominable, à l'envers, incapable de penser, de raisonner, de me recueillir et d'inscrire de bonnes pages. Les voisins, hier, jour de fête, du foot, des compétitions de ski, de l'opium du peuple, de débrayage après la semaine de travail difficile, étaient vivants et animés. Ils sont pourtant discrets ce matin. Où sont passés mes voisins? Où sont passés mes voisins à treize heures trente-deux et pourquoi le silence est d'or depuis mon réveil tard dans la matinée, perturbé du seul chant langoureux du canari vert dès le soleil levé et ses rayons dardant son âme à travers la fenêtre sous l'effet d'une réception dans la mienne bonifiée ? J'ai dû entretenir le mouvement perpétuel des expressions de ce canari sans en avoir conscience, au mystère de l'affranchissement de mon système nerveux et de mon conscient sous la syncopée heureuse, adoubé de ses cris : poussé à croire qu'il reçoit en échange de ses permissions de silencieux assentiments. Il est tonitruant le matin seulement, et délicieux à entendre. Mais des pieds de voisin, de cris, de craquement de bois, de batterie Yamaha, je n'ai point entendu jusqu'à l'heure de maintenant. Les trois locataires étaient bien pourtant dans leur appartement hier tout au long de la journée… Suis-je mort la veille, dans la soirée et contraint au fur à et à mesure de la scarification de ma pensée de réaliser avoir rejoint le monde de mes chers, de mes amours, des miens, là depuis longtemps et mort avant après, c'est selon, sans cadran de montre pour nous indiquer à quelle heure nous sommes arrivés ? Suis-je condamné à vivre pour un temps donné avec mes oiseaux sous les rayons du soleil cru et généreux sans douleur ou brulures, à la recherche d'une sensation médium aux affections diverses et variées du paradis inondés de soleil, et point si cru qu'on voudrait bien l'entendre ? Heureusement ma foi. Nous pouvons dès lors travailler dans le recueillement le plus total sous la douce brise remise sur son bon braquet, les rochers interdits de Capri ou la place Saint-Marc de Venise, assurés d'une extraordinaire longévité. Nous sommes enfin paré à combler le monde de notre lyre réaccordée.
La mort est belle chez Edgar. Ligéa est belle, toujours. Comme le Petit Prince de Saint Exupéry. Elle n'a rien fait pour arranger les choses : nous savions tout de cette histoire depuis mille livres. Leur lecture, redondante parmi les classiques, finit par nous rendre à l'état de demeuré, aux connaissances étriquées, incapable de nous intéresser à autre chose. Elle n'en vaux même pas la peine. Qu'elle ne cesse de se sublimer dans nos écrits aux dépend du reste, elle qu'elle soit la plus belle nouvelle d'Edgar, soit. Mais qu'elle enfreigne la connaissance de la nature en général me paraît problématique. Les gens de ce monde sont blasés du Petit Prince, du retour, de la vie après la mort proposée de manière poétique, une pensée pour nos défeints partis en poussières d'étoiles retrouvées dans les yeux des petits enfants. Ils ne savaient rien, ne comprenaient rien, ne discernaient rien, rassérénés autour de l’angoisse de la mort, pas bien plus avancés.
Je voudrais une grande dureté des asiatiques et des slaves à l'endroit de l'occident. Une grande dureté. Je voudrais god great. Je ne voudrais plus d'adjectifs maintenant, d'attitude dithyrambique, lyrique. Je voudrais voir la passe dans les bras des slaves et des asiatiques au milieu du terrain du millénaire se transformer en un essai à cinq point d'ici l'an quatre mille sous les yeux médusés des spectateurs rassemblés autour du terrain. Je voudrais un bel essai. Que les occidentaux meurent de faim, que les musulmans restent sereins. Que les trois premiers pas en avant sur le terrain voient le nombre de victimes de la chambre à gaz en l'an 2100 rester le plus bas possible. Je pense à la terre, au désert de Gobie maintenant en Californie, passé à travers le frontière pour aller caresser les pékinois de tempêtes de sables, des petits chiens minuscules fabriqués par l'occident. Je voudrais au passager de l'année du Tigre, faire oublier à tout jamais l'année du bœuf précédent, et voir l'homme devenir grand. Je voudrais voir prendre le relais de la poésie et de l'allégorie, des textes mystérieux est des rivières de diamants, et voir écrire de leur main le mot «great» sur le sol reverdit de la terre. Qu’ils cessent de brader leur gaz naturel, de laisser leurs vannes ouvertes, de se montrer dociles et tendres, de piétiner sur place, le ballons entre les mains tendu aux gentils copains, affables, de laisser couler les hydrocarbures dans les pipelines vers l'Europe ou les états Unis.
Le principe de précaution provient plus spécifiquement du droit de l'environnement, ainsi que de certains champs de droit scientifique
Ce principe est d'abord pour certains un principe décisionnel, officiellement entériné en 1992 dans la convention de Rio.
Bien qu'il n'y ait pas de définition universellement admise du principe de précaution, on peut s'appuyer sur l'énoncé de la loi française de 1995 (dite loi Barnier):
«L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement».
Je commets l'erreur de m'allonger après le repas, et de faire une sieste parfois. Et cette habitude fait de moi, après quinze ans de mauvaises habitude, un médiocre, un moyen. Mes professeurs continuent de me donner des bulletins mentionnant : peut mieux faire. Va-t-il se réveiller un jour? Senninger dort.... en troisième au collège Chantemerle ou ce dimanche après-midi. Le RMI créa en France une nouvelle race d'hommes : le sous-homme de Senninger, cent ans après le surhomme de Nietzsche. Le sous homme est très répandu sur le territoire français et présente des troubles psychologiques doublés d'une fatigue chronique dialectisée au départ dans la solitude entre les murs de chaux à l'attaque dès la posture morbide adoptée par le belge Henri-Michaux dans l'Eternel Turbulent, selon la proposition suivante : j'ai besoin de reposer mes jambes après le repas du midi car je ne me sens pas bien à cause de ma promenade à vélo alors me voici dans la position horizontale plus à l'aise entre ces murs de chaux. Ou de plâtre. Ou de pain d'épeautre. On de poncifs poncés à la pierre polie, depuis trois millions d'années, après une course dans les steppes à l'affut d'une viande de gibier entrain d'affuter un silex, l'idée bien en tête. Ainsi, les solitaires mieux inspirés ont inventé la pierre taillé, le concept de surhomme, le concept de sous-homme, et la réalisation en levant la tête vers les nuages d'une calamité parée à tomber sur le monde des érigés : l'étau de chômage. Contraints et forcés d'abandonner leur humble labeur, tous en coeur vont affronter l'ultime de la liberté et démontrer au reste du monde leur faculté de se délivrer par millions des griffes du travail salarié. Et peut-être nous fera grâce d'une pension équivalente à celle de l'homme aux jambes si souvent fatiguées sommeillant une partie de la journée avant de reprendre ses esprits et d'aller bien au-dessous du «seuil de pauvreté» officiel en l'année 2009. De l'écrit issu et transmis dans les influx nerveux de gens aux yeux mis-clos dans leurs songe organisés en réseau afin de rendre au monde sa trajectoire.
A bé cé décédé eux. Bai c'est décédé. Eux. Elf, j'ai hache qui git ? Esprits, êtes vous là ? Faites tourner mes doigts et dite moi donc qui git.
Cher épouse,
je ne vous connais pas encore et je suis un très bon partie. Voudriez vous m'épouser à quarante et un ans et me faire de beau enfants ? Je suis un écrivain et je n'ai pas beaucoup d'argent. Avec vous vous vu ce temps ? Il pleut assez abondamment sous l'effet de serre, du bon côté des mauvais effets touts recensés dans les rapport du Giec. Le premier pourtant en cette année marquée par une recrudescence des précipitations pour longtemps avant d'imprimer sa restaurations pour au moins, que je réfléchisse bien..... sept milliard d'habitats, 200 de réserves de charbons... Un bon partie croyez moi cher épouse. Il pleuvra fort, sur la grand route. Vous cheminerez, sans parapluie. J'en aurais un, volé sans doute, le matin même à un ami. Courant alors à votre rescousse, je vous proposerais un peu d'abris. En séchant l'eau, de votre frimousse, d'un air très doux me direz vous oui ?
Le nombre de jours d'ensoleillement consécutifs pour l'année 2010 sera moins élevé et le parapluie recommandé. Le temps sera gris, maussade, doux, tempéré. Deux mille dix sera une année fort arrosée comme les cinquante prochaines années. L'effet de serre est un principe d'humidité, et ce satané carbone dans l'air ne veut pas se dissoudre sous les gouttes de pluie. L'oxygène à beau exhaler des sols régénérés, il se refuse à tout abus, après sa souscription à une assurance-vie signée au sommet de la terre à Johanesbourg en 1992 stipulant ses droit et se ses devoirs. La sensation de fraicheurs des ondées fréquentes n'est qu'un leurre incapable de nous faire redescendre les parties par millions de gaz carbonique dans l'atmosphère déjà rudement élevé pour la dixième année à partir de zéro. Un comble. Elle coule la pluie, inonde nos corps en sueur, réaffermit l'air de ses odeurs de tourbes et de fleurs, fait pousser les arbres et la végétation. Et le carbone ne veut rien savoir. Il est là, suspendu dans dans l'entrée, accroché au mur, huit kilos deux et ne craint pas, contrairement à l'acier, les gouttes de pluies relancées par le la roue arrière, chargée de particule de terre, et venues se projeter,sous le carénage..... de vélo je veux dire. Largement insuffisant pour contrer son abordage. Nous sommes livrés aux caprices du climats et incapables de nous déterminer, toutes et tous bloqués dans les embouteillages. Ceux que nous aimons, les baleine et les dauphins, ces futures générations, tous, nous savions, et nous n'avons rien dit sur la chambre à gaz. Peux ton nous accuser d'avoir conduit vers la chambre à gaz des millions d'hommes, de femmes et d'enfants ? Peux-on nous accuser de suicider notre genre en entier, assis au volant et criant «Cétacés» ?
Bilan en 2009 dans la revue Esprit des protocoles de Kyoto par un jeune mathématicien :
«Je n'insiste pas sur le dispositif prévu dès le protocole de Kyoto dit «mécanisme de développement propre» qui autorise les pays industrialisés ayant pris des engagements de réductions de leurs émissions à investir dans des projets qui réduisent les émission dans des ya pays en développement comme alternative à des réductions onéreuses chez eux, idée raisonnable mais ouvrant la porte à des détournements divers difficiles à contrôler dénoncés aujourd'hui comme «fuites de carbone».
Le point essentiel vient de ce que les politiques publiques suscitent et achètent des intentions. Les moyens d'action réglementaires compatibles avec l'économie libérale sont essentiellement des incitations : il s'agit d'accords aujourd'hui sur des comportements dans l'avenir contre compensation financière éventuelles
(…) Les ressources de pétroles aisées ou plus diffuses, les sables bitumeux, les schistes, le gaz naturel, la lignite, les houilles forment un continuum considérable qui, s'il est exploité avec la voracité actuelle, signifie une catastrophe climatique d'une bien plus grande ampleur que celles envisagées par le groupe II du Giec, conduisant à un bouleversement des colonies humaines et de la faune d'une rapidité sans précédent.
Esprit, décembre 2009.
Allons vers l'essence des choses non dites, enfouies, abondantes, bonne providence Nous contemplons ces concrétions avec tendresse et reconnaissance au créateur, sans même songer à ce qui est, se transforme, se dissous, se recrée. Je vais faire le guide afin de vous expliquer posément la nature de ces concrétions, la forme de leur sédimentation, leur constitution géologique, leur âge et leur influence sur le terroirs, en demandant le silence pendant la visite. Les débats, les concrétion dialectique et les datations mésopotamiques contraires à mes énoncés sédimentaires n'auront pour seule conséquences que de ridiculiser plus encore le genre en général ou les éléments du genre en particulier sujet à la discorde. Nous allons parler du ramollissement de la croute terrestre évoquée dans un précédent cours sous l'effet de serre.
Équateur 8,8 1906
États-Unis San Francisco 8,5 18 avril 1906 3 000
Tremblement de terre de 1906 à San Francisco Chili Valparaiso 8,2 17 août 1906 20 000 20 000
Japon Kanto 8,3 1er septembre 1923 141 720
Tremblement de terre de Kantō de 1923 Russie Kamtchatka 8,5 1923
Indonésie Mer de Banda 8,5 1er février 1938
Tremblement de terre de la mer de Banda Chili Chillán 8,3 24 janvier 1939 28 000 58 000
Tibet 8,6 1950
Russie Kamtchatka 9,0 4 novembre 1952
Alaska Andreanof 9,1 9 mars 1957
Chili Valdivia 9,5 22 mai 1960 3 000 Séisme le plus violent rencensé de l'histoire Tremblement de terre de 1960 au Chili Russie Iles Kouriles 8,5 1963
États-Unis Alaska 9,2 27 mars 1964 131
Tremblement de terre de 1964 en Alaska États-Unis Alaska 8,7 1965
Mexique Mexico 8,1 19 septembre 1985 10 000
Tremblement de terre de 1985 à Mexico Sumatra Andaman 9,3 26 décembre 2004 222 046 125 000
Tremblement de terre du 26 décembre 2004 Sumatra Île de Nias 8,7 28 mars 2005 Tonga 8,3 3 mai 2006
Tremblement de terre du 3 mai 2006 à Tonga Russie Iles Kouriles 8,3 15 novembre 2006 Raz de marée d'1,80m et effets à plus de 16000km de l'épicentre, notamment à Crescent City, CA, USA
Russie Iles Kouriles 8,3 13 janvier 2007
Pérou Lima 8 15 août 2007 387 1 050
Océan Pacifique 8,3 29 septembre 2009Chili Concepción 8,8 27 février 2010 497 Séisme de 2010 au Chili
Je suis épris de vous. Je vous aime. Je veux vous épouser. Parlons pendant que nous y sommes de la dilatation de la croute terrestre sous l'effet de serre inducteur de tremblements de terre plus fort sur l'échelle de Richter. J'entends bien encore trembler au siècle dernier de façon régulières maints continents malmenés du chevauchement des plaques tectoniques sur une mer de lave. J'entends bien trembler le terre et hurler des hommes par centaine de milliers à Tokyo, en 1923, ou a Gansu, en 1920. Mais mon tableau de recensement me montre une recrudescence du Riche Ter. Voici les séismes les plus puissants enregistrés depuis 1900 (Wikipédia, refaire le tableau)
C'est cuit. Rien de génial ne sortira de tes liges lignes. Ça ne sert à rien. Mes capteurs et mes jauges de profondeurs me disent que tu ne vaudrais rien ce soir dans l'exercice d'écriture. Je le concède. Mais comment boire deux verres de vins sans écrire ? Comment buvez vous du vin ? Comment pouvez-vous boire ce nectar, sans clavier entre les mains ? Le verre est devant moi et je n'y toucherais pas. Il est infect, ignominieux, tant que quarante lignes n'auront pas été inscrites sous mes yeux, effacées dans demain matin au petit jour. Quel état déplorable judicieusement analysé de mon amour pour ce soit. C'est cuit. Je crois bien qu'elle a raison. Un jeune garçon présent ici, attentif, me diraient : «tu es nul de boire. Pourquoi bois-tu si tu n'aime pas le vin ?» Très judicieuse remarque. Et bien d'abord parce que la première gorgée est délicieuse, pour commencer. Et parce que les grands personnes de plus de quarante ans doivent boire au moins trente trois centilitres tous les jours, sans quoi elle se détruisent, abiment leur santé, leur corps, leur cerveau, leur souplesse, des mécanismes de régulation, et cessent de gagner en performance pure sur les champs de courses les plus durs, une entreprises en concurrence rude, une course de lévrier afghan ou la littérature d'appartement. «D'un bon appartement chaud», me faire remarquer le gamin près à rapporter les blagues Carambar écrite à l'envers. Je me souviens en répondant ceci au jeune garçon d'un passage remarquable de Jonathan Swift à propos des ravages et des maux de l'alcool sur le genre humain, leur description clinique, et les conséquences psychologiques actées d'une série de sinistres en guise d'effet et de calamité à cette cause générique. Swift n'aimant ni le genre humain ni le bon vin, et vivait en misanthrope, entouré de chevaux, au bout souvenir de son dernier voyage parmi les Younowmmms. Il parlait sans doute de l'intempérance en la matière. Ou de légendes de navires sublimes partis le pavillons haut conquérir des terres ultimes les soutes pleines de viande et de tonneaux, pris d'assauts par des conquistadors avant même d'avoir touché les cotes pleines de promesses Incas. Il parlait du besoin physiologique de la voiture, dissimulé sous un raisonnement fallacieux :ils prétendent avoir besoin d'une voiture pour aller travailler. La cause de l'effet automobile est une dialectique vide de sens, propre à l'homme, capable de légitimer n'importe quoi en articulant le raisonnement suivant : a=b, et b=c, donc a=c. Selon lequel la voiture servirait pour se rendre au travail sans quoi il serait incapable de s'insérer. Voyons un peu de près la force de la validité de cette dialectique d'après mon expérience professionnelle de quatre ans à l'usine de la SNECMA, constructrice de moteur d'avion, après deux années d'écoles privées rendus tous en bus, en vélo ou par un compagnons d'usine, covoiturés pour les plus rares; venus de diverses communes plus ou moins éloignées dans un périmètre de trente kilomètres. L'école technique privée de la Snecma, équipée d'un portique électriquement fermé la nuit, ouverte au petit jour sur son allée d'un kilomètres peuplée d'élèves épars en vélo, à pieds, en traineaux, en léopard, en landau et en nénuphar, pour les plus classiques - et une auto bizarre pleine de tintamarre dérangeant ce petit monde vivipares, la tête retournées sur l'étrange bestiaux. Deux ans, trois cent apprenti à peu près ont parcouru cet herbage ou la partie droite de la chaussée, heureux de la félicité d'un apprentissage menant automatiquement à la profession de compagnon dans l'usine immense d'à côté, sans le moindre renvoi d'un élève pour retard ou incapacité de se rendre. Sept cent jours de transhumance tranquille, le long de cette voie marquée du fer des chevaux bourrichons allant sans se presser trainer la charrue afin de marquer au fond de la (outil de fer) la ligne de semence de la prochaine récolte. Une récolte abondante, conforme à la promesse du paysan réitéré à leur oreille d'une voix ferme et parfaitement communiquée à leur sensibilité inter-spécieuse. Les temps de labours étaient respectés, prompts, rapides, efficaces. Et la récolte abondante conformément à la tonalité de la voix. Huit mille francs par mois pour débuter. Mille deux cent euros à peu près. Et que firent d'emblée l'ensemble de mes camarades, heureux d'avoir mis le pieds sur une valeur sûres, silencieux, patient, le cerveau plein d'idées fulminantes sur les manières de pouvoir exploiter cette matière brute honorablement côté sur les marchés de Dakar, d'Ajaccio et de Vancouvert, pleine de porcs encore ouverts ? Ils s'achetèrent une voiture.
Après avoir relu le troisième voyage de Jonathan Swift et les déplorables conséquences de l'abus d'alcool sur le foi, les rein, la vue et les intestins, je diminue considérablement l'alcool. Plus de vin, deux verre par jours au grand maximum Un vin assez traitre, aux prétentions très largement surestimée. Ainsi l'adage selon lequel le vin ferait dormir . Quel mensonge ! Combien de fois j'avalais soixante centilitres, ma couchait comme un gros bébé, le sourire aux lèvres, heureux d'avoir tété le sein de sa mère et replet, repu, rasséréné, aux paix avec le monde, cosmique. Et bien je me réveillais toujours vers deux heures du matin, après avoir cuvé mes soixante centilitre de vin, condamné à ne plus retrouver le sommeil. Deux verres de vin me permettent de dormir une nuit entière, en trouvant le sommeil de façon loyale; Le vin possède une seul vertu thérapeutique avérée : il sert les intérêt de la mort capable de poser généreusement ses métaphores et de nous plonger dans une littérature merveilleuse. Nous rendre à l'état de la petite fille du roman de Lewis Carol. André Breton ne s'en ai jamais remis, et chantait à qui voulaient bien le croire son plaisir d'avoir rencontré le le Lapin Rimbaud. Le vin associé à l'écriture à souvent produit des effet améliorant dument constatés à la relecture des grands livres à peu près réussis, tout comme le vélocipède au clavier alphanumérique dans l'expérimentation du nouveau procédé mnémotechnique un peu métallique, moins accessible en tout cas que la bouteille de bon vin posé sur la table. Mais n'extrapolons pas, surtout en tant qu'affranchit à toute substance spirituelle, et censé être rugueux comme une père, sec comme un mirage, ingrat comme le désert, réfugié sur mon Kant à soi devant des amis debout devant moi, venus ce samedi soir une bouteille à la mains en souriant, surpris, interdit, toujours là dans l'entrée depuis une éternité. J'ai fait ma promenade hier à Vincennes, rangé me rangé mes chaussures de vélo, mis mes souliers et me suis couchés à dix heure, raisonnablement.
Toute personne encadrée par le dispositif se doit de prendre ses outils et de rejoindre les compagnons. Il sera mieux en mesure le reste de la journée de subir les coups de marteau des ouvriers réunis autour de lui tout au long de la journée toujours affairés un escabeau en aluminium sur l'épaule, des charges sorties d'un camion au nombre de cent cinquante deux, dix minutes d'attente et d'immobilité sur un quai de page, d'étranges bruits de machines-outil détonnant dans toutes la ville, une boite de clou renversée par un vieux compagnon maladroit les genoux à terre entrain de ramasser son tas étalé aussi redoutable parfois que ces hautes machines hydrauliques. Une ville-usine prospère, en pleine activité, fermée la nuit fort heureusement, chargée de commandes, aux rouages parfaitement huilé de la roue dentée de l'immense faucheuse à la main pleine de carpes du nouveau compagnon à peine embauché. Il doit prendre garde aux fenwicks, coups de klaxon, accélérations électriques vives et de bon aloi derrière la ligne jaune marquée aux sol sur les grandes allées vertes. Et jamais il n'y aura de choc, de compagnon renversé, de machines explosés, mal réglées, d'une mèche de fraiseuse cassée en sanguine voltigeant à travers les aires pleines de monde, de bout de doigts écrasés d'un coup de marteau maladroit, de cri de douleur du compagnons métaphysique, méta-tarse, méta-carpe, mets ta paire de lunette de soudure à l'arc. Tous affairés autour de moi, souriants généralement, ou sérieux, graves pour les plus vieux, jamais amères, aigris, revanchards, ressentimentaux, non. Tous bruyants et bon enfant là, mon casque de chantier sur les oreilles sur les oreilles : ne gardez jamais vos lunettes de sécurité ou votre casque de chantier ou votre masque de protection trop longtemps. Autrement, vous subiriez des thromboses de vos veines afférantes aux organes de perception aux membranes mal ciliés, contractés, dégorgés, réfractés ou tendu vers, détraqué de ne pouvoir de ne plus pouvoir assimiler le grands messages de ne plus pouvoir lire, se repérer. Enlever vite ces appareils de protection malsain, et subissez le doux murmure de la ville usines toutes la journées durant. Puis réservez une heure dans la journée à vos outils, votre marteaux, votre établi, vos petits clous, ou attachez vous une cloche au cou si vous êtes Marguerite la vache laitière, et allez irradier vos sons légers à la compagnie autour après. Vous pouvez également si vous connaissez quelques accords de guitares , aimez à vous entendre chanter le répertoire folkloryque, inonder votre pièce sans règle, ordre, méthode.
Tout le monde est chargé d'amour, tout le monde ! Il n'a cesse de me matraquer aujourd'hui le privilège unique en la personne de Laurent Senninger, aimé, uni à lui par les liens du mariage. D'où ma difficulté à démêler l'écheveau des choses en nous, le pouvoir de suggestion de mon écriture et de bien de celles d'autres plumes fragiles, sans rigueur, devant l'ampleur du brouhaha de l'Eternel turbulent venu dans le flux spontané de l'auteur mêlé d'écheveaux, des chevaux, des chevreaux compliqués. Et s'il s'agissait d'un premier amour, encore timide, masquant une hypothèse mal exposée, méticuleusement dissimulée par ma mie même, m'aime, même, mémé m'aime aussi satanés doigts de mille sabords de tonnerre de Brest. Tintin, venez voir.
- Oui, Capitaine Hadock ?
-Tintin, vous n'avez cesse de m'annoncer l'arrivée au port dans les jours à venir sous forme d'éffondrement des économies prospères et de marcher sur l'eau pour rejoindre plus vite la terre de mille calamités essaimés au fil du siècle spirituel par la force s'il le faut énoncé par Malraux, en faisant «Tin-tin...»(Do ré). Vous n'avez cesse d'encombrer mon esprit de procurations futures des plus délectables ou d'horreurs passées les plus abominables, en finissant toujours vos phrases par l'interjection : «Tin tin....» utilisée afin d'imprimer l'intrigue. Ces «Tin-tin...» n'ont cesse de sonner à mes oreilles depuis ma tentative de partage de votre épopée sans voir depuis deux ans de navigation en haute mer la moindre fracture de faille, la moindre cote, la moindre falaise, la moindre Pointe du Ras. Enfin, qu'est-donc que cela , Tintin ? Vous commencez à m'énervez à la fin ! De plus, Tintin, vous me connaissez bien. Vous n'avez cesse de me relancer dans le jeu imaginaire en me regardant droit dans les yeux d'une façon solennelle en me disant «Vert ! Vert ! Vert !», d'une voix éclatante, douées d'une grande imagination. Et nous là, béats, cernés par votre solennité, reprenons alors la barre un instant, les yeux plissés sur la ligne d'horizon, conscients de votre présence derrière, soucieux de ramener le navire dans la bonne direction. Mais Tintin, voyons : vous m'empêcher un seul instant par votre volubile babil à onze mille déclarations par jour quand le temps est calme, de modéliser précisément ce temps, ce climat. J'en viens au bout de deux ans d'infortune à douter de votre nature affectueuse.
Mais non, capitaine, enfin. Les économies prospères des pays industrialisés sont sur le point de s'effondrer afin de présenter les lignes de failles nécessaire à leur modification.
L'avion lui plait forcément, et ses variations dans la ciel affranchies de l'attraction terrestre le laissent aller de grands pas chassés tenant dans ses mains ses constructions en papier, en carton, en composés. Il adore jouer aux avions, comme tous les gamins de son âges, l'imagination fertile, des boeing plein les bras. Il venait Maidey à faire la vaisselle et se débarrassait vite les mains en les faisant atterrir dans toutes les matières organiques trouvées sur la croutes terrestre : dans l'eau salé, la neige. Dans la forêt, mais la forêt ce n'est pas drôle du tout, car même des petits arbres réduisent en lambeaux sans même un tronc entier l'intégralité des passagers. Sur des aéroports trop courts, près des côtes, aux alentours de Noblecourt, et se faisait confisquer une bonne fois pour toutes ses appareils en papier : the human being ne cessaient de prendre des mesures de sécurité sur les boeing avec des boites noires, des contrôles moteurs, des révisions, des ingénieurs, surtout après la catastrophe du World Trade Center. The human being lui confisquaient définitivement ses petits avions. De manière efficace, j'en conviens : pendant dix ans, il n'y toucha point. Il aurait voulu bien, s'il avait pu les attraper et jouer, encore, jouer, inventer, se distraire. Il les aurait pris dans ses mains afin de leur faire dessiner des circonvolutions dans le ciel, créer des ellipses, des ronds et des déliés, des avions à hélices plus économiques que le moteur à réaction pardon, c’est mois qui déraille - avant de les faire tomber sur le bout du nez entrain de souffler la poussière déposée par terre pour amortir le choc et garder deux ou trois passagers vivants, grande performance en matière d'aéronautique : garder des survivants. Mais l'enfant n'édifie pas. Non. Il est irresponsable, joue, crée, imagine, réinvente le monde à chaque fois. Le petit Prince nous tend une feuille et demande : «dessine-moi un mouton». Je m'exécute, prend sa feuille et un crayon, et le dessine dans sa dernière invention au mois d'avril 2010 : un volcan islandais est entré en éruption tandis qu'un flux de sud balayait toute l'Europe sous l'effet de la situation anticyclonique artificielle. L'Europe aspirait de sa frénésie automobile les poussières de ce lointain volcan au delà des mers et des océans. Ma stupéfaction fut grande en voyant sur la carte la matrice générale du vent aspiré par l'hélice entrain de tourner juste sur le continent équipé d'un carburateur, d'une chambre de compression, et d'un moteur à explosion. Impressionnant : l'hélice, tout juste dimensionnée à la roche émergée, déterminait sa matrice à des milliers de kilomètres de là. Une tempête anglaise d'une noble dimension avait déjà soulevé mon appréhension le mois de mars précédent, un malheureux week-end de lutte entre la SAA et le petit sous la fatalité des différences entre les hautes et les basses pressions. Le Royaume-Unis présente pourtant les meilleurs chiffres de tous les pays démocratiques en matière de respect du protocole de Kyoto avec vingt pour cent de moins de GES émis. Vingt pour cent. Ou de touristes en moins, ou d'immobilier en moins, ou de dollars en moins, ou de la composition des fromages à patte grasse, je ne sais plus bien, pris de doute ici avec les chiffres. J'eus une soudaine appréhension en entendant rugir le môme au mois de mars, et lever sa main détachée d'une belle manche du continent, tuant une vingtaine d'anglais sur le coup. Méfions-nous des chiffres, des données administratives, des papiers, des symboles, des hiéroglyphes, des sphinx sculptés dans le marbre sacré à l'entrée du palais de cristal où je suis enfermé : il n'y a pas d'ouverture pour glisser les pièces de monnaie, et je suis pris d'une terrible appréhension. Je pense que le môme s'est fait mal en tombant et s'est mis à pleurer très fort après la giboulée de mars sans discontinuer, au point d'allumer un volcan islandais au moment du changement de la direction du vent sur toute l'Europe. Le retour du ciel bleu, Full métal jacket, dans un flux de sud inexorable entretenu des hélices des carburateurs, emmenèrent les poussières du volcan sur l'ensemble du continent. Les aéroports furent instantanément bloqués pour quelques heures croyaient-on à l'entrée des vacances scolaires, un vendredi, sans rémission des péchés sanctionnés de la balle bleu : le môme avait scrupuleusement observé la technique de son adversaire toujours gagnant ces we de départs en vacances chargées sur les routes de manière abondante de l'Irlande verte au Maroc ensablée « Mais comme la reine et le roine le veulent pas çà ne sera pas toi»: sur ce coup là, il lâcha un filet de poussières volcaniques de ses entrailles contrariée sans discontinuer pendant deux semaines en plein sur l'Europe, et parvint à mettre l'aéronautique civile par terre. Elle se souviendra pour toujours de ces deux semaines de calamité dans tous les aéroports du monde sans discontinuer. Les volcans islandais crachaient la poussière aspirée du carburateur précisément sur le continent, au plus grand damne de millions de passagers bloqués dans les aéroports du monde entier.
Chapitre 8 : Désir
En vérité, je ne suis vraiment pas motivé pour vivre avec un jeune garçon. Telle est la vérité. Pourquoi, je n'en sais rien. L'âge peut-être, quarante et un ans, usé, courbé, moins explosif, brillant, prédateur compulsif. Ou le réseau Youtube, achalandé régulièrement en chair fraiche posé dans mon assiette au moi de leurs premiers amour. Le gamin croisé la semaine dernière, rangé sur la chaussée après cinq tour de piste, m'illumina de son rayonnant au passage de ses posture, debout, les yeux sur mon visages au milieu du peloton. La folie pure du pédéraste, quatorze ans, des amulettes suédoises en guise de mat et d'embarcadères pour faire de beaux voyages. Un soleil radieux, d'une beauté surpassant celles de Tadjio à Venise. Porteur de ce petit quelque chose de plus volontaire dans la confiture de son indolence infantile, de plus déterminé. Parce qu'il s'était époumoné dans le peloton, le rose au joue, rendu alors plus vivant ? Parce qu'il cherchait des yeux un camarade de jeu, allumé déjà par sa présence dans l'instance du circuit de pédalage ? Un adolescent de son âge, un copain, un camarade, soyons bien clair et, sans quiproquo ? Pensez : le gamin, dix minutes après m'avoir donné un coup d'arc dans le la rétine au milieu de la soudure du peloton faute du port du casque de circonstance, se trouvait minute plus tard planté au milieu des sapins, entrain de végéter à gauche de la chaussée, loin du point de la raliment habituel des hommes à pied, dépassé de son propre évènement, en difficulté dans un peloton régulier, certain de revenir à la conformité d'attitude correspondant à son âge. La plante était là, devant les arbres, au bord du trottoir, loin de vouloir se dissimuler, épuisée à cet endroit précis ou dédaigneux de l'acrimonie ou sans amis sur le circuit. J'avoue en écrivant ces mots être pour la première fois ému par lui. Me faudrait-il écrire à tire larigo après ce type d'aventure afin de stimuler ma libido et d'honorer la nature ? Sans amis, solitaire, dédaigneux du terre à terre, de traineux et de l'odorifère, des renards, des écureuils, d'un chevreuils parait-il même dans le bois de Vincennes, loin de toute ces faunes, soucieux d'élever son âme, planté sur la descente en faut plat donnant sur le château de Vincennes.
Tentons de débloquer ces doigts selon une méthode surréaliste appelée écriture automatique et visant à laisser aller les doigts à la vitesse de l'inscription des pensées si tant est qu'une tensions intellectuelles est exerçible et laisserait apparaître sur la feuille des homogénéité intéressantes, bien meilleures que dans la discussion de haute tenue. Aucun orateur ne pourrait accepter une pareille affirmation, et nous attendons bien entendu leur doléances orales ou pétales, en passant par l'anale ou l'anneau de Saturne tant la vitesse de propagation de la pensée dépasse tout, même mon écriture. Je voeux, je souhaite, j'implore, je sollicite de tout mon coeur l'expression plus belle encore, plus tendre, plus touchante, plus renversante, qui me fera oublier mon existence même et l'idée de ma valeur. Le support oral, vestibule, ventral, libellule, télépathe, boréale, morse, musical, télégraphique, téléphonique, stéréotonique, transformé d'un point de vu génétique, technique, mécanique même afin de former cet art m'importe peu du moment qu'il se distillera en moi et me rendra heureux en partant de l'état malheureux. Qu'il me rendra plein en partant de l'état vide. Qu'il me rendra entier en partant de l'état défait. Qu'il me fera toucher la plénitude, et que je refermerais d'un geste fébrile la source du nectar de l'insoutenable prolongation de ma volonté d'assimiler. Etant bien entendu que la félicité alors goutée, proche de l'état de l'éternel, sous l'effet de son maintien, génère l'impression d'absence d'exercice de la moindre volonté. L'illusion d'être détaché de l'état de souffrance et d'être ainsi pour l'éternité dans la félicité. A quoi bon tout puisqu'il est là un nectar sur la table de la connaissance remplie de soucoupe, de vase, de graal en terre, en pierre, en émail, E-mail sur une grande table de papier, d'oralité, de télépathie, de musiques, de d'athlétique, d'alambic, anaérobic, sans oxygène, sans azote, sans eau ? Fait moi boire ta lie, sapristi, que je puisse oublier la suprématie du support papier de l'écriture musclée; apporte moi tes trésors, et ne te laisse pas intimider par le silence. Et penses à Léonard de Vinci, ou Antonio de Vivaldi, afin de te donner toute la force de ma convaincre.
L'étalon de la marquise qui adorait les chevaux, avait-il parfois des problèmes de coordination ? éprouvait-il des idées, des sentiments, un jugement ? Car je trouve le procédé de monsieur Jonathan Swift bien facile dans son dernier voyage parmi les chevaux intelligents. Jonathan, preste écrivain, leste adroit de ses deux mains pour attraper une souris verte par le queue, les cocotes shimanos, une pervenche, Marie France Garrot, une balle de tennis en l'air et tout un tas de détritus encore derrière, avant de s'installer derrière ce clavier, à l'amanite tue mouche, à sainte Nitouche, à la fée Scaramouche, très différente de la fée Carabosse, tirée dans son carrosse par deux étalons. Georges Sand venait à les dédaigner, parfois, en retrouvant dans la pupille de ses enfants ce regard clair du jugement dernier à la lecture d'un bon cadeau. Elle les montait, bien, haut, contrairement à votre serviteur obligé, quelle horreur, de pédaler sur un vélo faute de véhicule adéquat. Enfin, Jonathan Swift; enfin, messieurs les philosophes les plus grand de tous les temps, les chevaux sont d'abord fait pour être montés, pas pour nous juger ! Cette impression dégagée n'est que l'issue d'une bonne et longue compagnie, d'une proximité ! Mais jamais au grand jamais ces animaux ne pourraient fomenter le moindre jugement à notre endroit ! Je m'accroche de mes deux bras au guidon de mon vélo sans perdre les pédales à la vitesse égale d'un cheval au galop après l'arrêté municipal de ne plus laisser circuler les chevaux dans toutes les capitales à causes des rétros, des grands dédales, des cul au trop, des amygdales serrées des la chaussée de façon radicale.
Et vlan. Là, je me suis étalé. J'ai glissé sur dix mètre, sous le regard terrorisé du peloton, entrain de filer à des vitesse inconnues. Nous étions en 1910 et formions un groupe homogène, admiré comme il se doit par les gens du monde entier - le vélo et nous vous savez, c'est une longue histoire. Je ne sais pas ce qui s'est alors passé. Ma roue avant a glissé, ou s'est tordu, s'est légèrement plié. Sans casse, sans frotter contre la fourche, non. Sans même une pierre, une motte de terre ou un batton de bois, un bidon de zinc tombé d'un autre vélo : tous les bidons sont en plastique et s'appréhendent sans séquence dramatique par les coureurs du groupe. Pour vous dire exactement les causes de cette défausse, il aurait fallu un caméscope allumé, une caméra de surveillance sur le côté, un badaud particulièrement affuté. Je ne sais toujours pas la raison exacte de ce pliage de la roue avant d'une section à faire peur à toute usager d'un véhicule traditionnel à deux ou quatre roues n'en croyant pas ses yeux, cent ans bientôt après l'accession au record du plus petit, du plus étroit, du plus serré, son trou du cul d'adolescent, sans que la technologie, la recherche, la force de l'inertie de bibendum ai contribué à changer quoi que ce soit à cette impression. Tous les usagers du pneumatique en dehors de mon quartier font de grand yeux écarquillés devant le pneu de nos vélos. La roue est mieux remise à l'honneur sur notre monture que sur la leur, généralement d'une moindre envergure. En effet, les rayons nous rendent le meilleur service parmi toute les leurs, croix de bois, croix de fer, si je ment, je vais en en-fer. La contrepartie de ce ration bien établit est l'extrême souplesse de ma structure, tenterais-je maintenant d'une injonction de recherche kantique de m'expliquer après la défausse de cette roue avant sujette au plissement fatale à son accent circonflexe pendant les ronds et les déliés. Cette bicyclette n'a cesse de me regarder en cillant, écarquillant, plissant ses deux yeux, me soupçonnant de je ne sais quoi, de me doper, d'en faire trop ou pas assez, d'attendre les bougies afin de mieux l'allumer, trop lent, trop mou, trop léger. Et, à force, elle a dut se mettre à crever. Nous étions au début du siècle, et des chevaux par millier nous véhiculaient sans lésiner depuis la nuit des temps, en parfaite osmose. Nous allions au trot, au galop, en fonction des terrains, capables d'assurer le train. Nous véhiculions nos passagers, entretenus dans un esprit et un corps sain. Emile Zola, l'auteur de l'histoire d'une famille sous le second-empire, nous avait pourtant prévenu, dans son «j'accuse», écrit en 1901.
La femelle dans la cage depuis hier s'est mise récemment à s'arracher les plume. Elle le faisait de temps en temps, une fois tous les mois seulement, de façon ponctuelle, quand le nid était trop sale, ou qu'elle ou qu'il était innaccessible. Mais hier, alors qu'elle pouvait se réfugier dans son nid et s'y blottir comme d'habitude, elle tenta de s'arracher les plumes. Ainsi fonctionne l'automatisme. Il vise les oiseaux, je ne sais pour quelle raison, fait tourner son calculateur autour de la générescence d'anomalies de comportement, coup sur coup deux jours d'affilés. Imaginez un peu le fou entrain de rester chez lui et subir des le résultat de ces anomalies de comportement, la première détruisant le plumage d'une oiselle déjà esquinté par cette manie, le second en générant la nuit un bruit émis du canari mâle, émanant de la cage tous les quinze secondes environ tout au long de la nuit, une sorte de sommeil de canari agité. Un sommeil léger, et une ritournelle, une scène entrain de se répéter, répéter, répéter, générant une contraction de la des patte sous sous l'induction du nerfs sciatique tous les quinze seconde environ. Pour la première fois de son existence, après un an de paix et de calme pendant la nuit; ces petits animaux sont les plus doux et les plus silencieux que l'on puisse imaginer. Sauf leur chant, grandement apprécié, il ne sont pas très perturbant au niveau du bruit. Je suis tout de même ébahi par les facultés de l'automatisme de pouvoir générer des syncopées, des coups, longtemps, de toutes les manières possibles. Des canaris pour tout vous dire rendus dans un état effrayant, présentant de surcroit la particularité de ne jamais bouger quand je ne traite pas de symboles, de mots, en lecture, écriture ou émission, c'est à dire présentant un comportement pathologique, immobile pendant des heures sur leur barre de support, fixes, rigides, quand je suis là dans cette pièce à ne rien faire, incapable de traiter du texte, et bien malheureux de ne pouvoir me distraire de cette petite compagnie de fortune si agréable quand elle va-et-viens dans sa cage, tourne la tête de manière originale pour regarder l'autre, s'énerver, s'agacer, et réagir de son attitude, petits reptiles, petits serpents à plume, circuler en fonction des affinités dans tous les sens et nous reposer un peu de notre labeur. C'est l'autre intérêt des canaris, pour les gens capables de s'intéresser et d'observer si petits, de voir ce qui pourrait passer inaperçu à un exégète de ces animaux là. Ils sont ici par exemple galvanisés dans leur cage en acier galvanisé, n'en pouvant plus d'aller et venir en fanfare, heureux de vivre et d'attendrir un éventuel colocataire intéressé de ces petits colléoptères, collés aux petits de la terre, voire aux hélicoptères. Galvanisé de façon extraordinaire : seulement quand un mot leur passe à travers. Après une heure empaillé vivant, rigides, fixés, désespérant, sous le coup surprise d'une flèche à tous les points de vue d'un traitement de texte branché sur leur petite sensibilité, à tous les points de vue, près à mettre ma tête à couper, sur la première syllabe, le premier mot, le premier vocable articulé dans mon cerveau, sur mon clavier, de ma bouche ou du haut-parleur de la radio, à l'instant même animé à de ce passage à travers leur corps, automatiquement, dans un brouhaha étalé sur la durée de la circulation de ces termes dans la pièce, ou dans ma tête. Je dis bien la première flèche, instantanément, que nous soyons bien clairs. Il ne s'agit pas d'une animation des canaris sous l'effet de la mienne, d'un rayonnement soudain de mon être dans l'action de recevoir ou de produire des textes et de l'esprit, après une heure amorphe, défiguré, la face plate, la face à peu près d'un enfant enfermé dans sa chambre entrain de regarder la télévision.
(éditeur, faut-il maquiller le garçon en fille pour le public de cette manière là ?)
Je prend mon café, vais et viens dans ma pièce, fait un peu de rangement, dédaigne le clavier, sans la moindre inspiration, puis vient m'assoir au bout d'un temps sur la chaise face à mon ordinateur encore ouvert sur le site de ma Banque, consulté l'heure auparavant pour voir combien il me restait d'argent. Quand je vois en publicité Dysneyland Paris. Dysneyland Paris, l'image utilisée. Devinez donc pourquoi une publicité pour Dysneyland Paris apparaît sur mon écran ? Devinez donc ? Enfin bon, voilà mon attention attirée contre mon gré sur une adolescente de quatorze ans. Parlons donc de ma relation à cette fille de quatorze ans. Nous entretenons une relation à travers le réseu Youtube, et profitons l'un de l'autre, en regardant nos vidéos respectives pleines de messages secrets signifiant chacunes «bien à toi». et cela depuis six mois, six mois maintenant que nous trainons ensemble, main dans la main sur ce réseau virtuel, en nous la serrant fort et nous regardant droit dans les yeux afin de s'assurer de la véracité toujours de notre amour. Et quel amour ! Quel attachement, quel bonheur ! Je suis conscient d'avoir de la chance. Je pourrais employer des mots pleins d'émotions et de stupéfaction pour donner une mesure de la contrariété et l'inversion de ma vie quotidienne si l'année prochaine elle venait à ne plus m'accompagner. Je pourrais écrire une chanson, composer des mélodies, crier des pages merveilleuses toutes patinées, encore, selon les techniques littéraires derniers cris, encore une fois. Une telle perspective me dégoute d'avance, me dégoute déjà. Comment peut-on faire du romantisme sexuel en littérature ? L'amour est le désir sexuel dérivent la grâce selon nos yeux. La grâce est une forme de beauté consubstantielle à notre espèce, et les mouches, comme les musaraignes, vivent, je vous le promets, des passions amoureuses propres à laisser sur le carreau l'attaché au cas de la découverte chez l'autre d'un défaut - tromperie, lâcheté, mort au combat, déperdition,... cette jeune juive, ravissante à mes yeux, n'a pour seul atout que son mélange celtique, qui en fait une cousine ni plus ni moins, une petite cousine bien pratique et très bien. Je vois rien à dire sur ces relations, si ce n'est que je la vie pendant mes instants choisis, revient écouter et m'ennivrer de sa voix et de sa vue, puis, repu, m'endors les yeux fermés, déjà un peu réparé. Je ne décèle dans ma relation amoureuse, exclusive, proportionnelle à la force de mon désir et au degré de mes canons esthétiques autrement dit une force d'intérêt, de passion, de tumulte, de réparation, de vies intensives à chaque instant passé en sa compagnie, d'une intensité de la seconde, de sa coloration , de son relief, de sa rondeur, propre à retourner dans mon âme et dans mon corps ce qu'aucun autre jeune Youtubers n'est capable de réaliser à ce jours, sous l'objective supériorité cette adolescente. Au visage plus vivant, plus animé, plus expressif, plus révélateur, à la voix plus électrique. J'en veux pour preuve de l'attribution par une force mystérieuse de ce joyau à l'orang-outang singer, les enregistrements réalisés avec l'application real Player. Le musicien le beau, le grand, à un degré que je ne connais pas, étant incapable d'objectivité sur mon état. Voyez un peu ou peut mener la vue d'une publicité pour Dysneyland Paris, voyez. Au moment où des changements interviennent dans le monde réel, dépourvu des facultés de se le représenter, de ea passionner, dele sentir, de la humer, de le percevoir pour ce qu'il est.